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Par obeline8o, le 24.12.2025
joyeux noël
que la poésie de cette douce nuit de noël t' offre le plus beau des cadeaux : le bonheur partag
Par laviedekiki, le 24.12.2025
jolie créa merci !
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Date de création : 17.04.2015
Dernière mise à jour :
25.12.2025
15567 articles
Le 8 mai 1945 est la date, dans le calendrier grégorien, de deux événements historiques : la victoire des Alliés sur l'Allemagne nazie et la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe marquée par l'annonce de la capitulation de l'Allemagne. Ce jour est appelé par les anglophones le Victory in Europe Day ou V-E Day pour « Jour de la Victoire en Europe »; le mot Europe est ajouté par les Américains pour le différencier du Victory over Japan Day ou V-J Day qui correspond au 2 septembre 1945, jour de la signature de la capitulation du Japon ; les manifestations indépendantistes algériennes réprimées lors des massacres de Kherrata, Sétif et Guelma en Algérie. Cette date historique de la fin de la guerre est rappelée par de nombreux odonymes en France (Rue du 8-Mai-1945, etc.).
Capitulation de l'Allemagne Signature de la reddition de l'armée allemande à Reims, 7 mai 1945. Deux jeunes femmes lisant la une du Montreal Daily Star annonçant la capitulation allemande et la fin imminente de la Deuxième Guerre mondiale, 7 mai 1945. Articles détaillés : Actes de capitulation du Troisième Reich et Actes de capitulation du Japon. L'amiral Dönitz, désigné par Hitler comme son successeur, ainsi que son état-major, ont compris que toute résistance est vaine. Dönitz consacre son énergie à ce que les troupes allemandes se rendent aux Alliés occidentaux et non aux Soviétiques, avant tout pour que les prisonniers allemands soient traités selon les conventions internationales, et non massacrés ou déportés en Sibérie. Aussi souhaite-t-il des capitulations partielles1 à l'ouest et la poursuite des combats à l'est afin de soustraire à l'emprise de l'Armée rouge autant de troupes que possible et de rapatrier le maximum de population2. C'est dans cette intention que Dönitz envoie une première fois, à Reims, au PC avancé du SHAEF d'Eisenhower, l'amiral Hans-Georg von Friedeburg pour tenter de convaincre les Occidentaux de conclure une capitulation séparée. Le général américain l'éconduit, tout en prévenant Staline des tentatives allemandes. Le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union soviétique se sont en effet mis d'accord sur une capitulation totale et inconditionnelle du gouvernement allemand et de l'OKW sur tous les fronts, n'acceptant que des redditions ponctuelles dans le cadre des engagements (unités déposant les armes et se constituant prisonnières) et non dans le cadre d'un traité. Dönitz réitère ses avances le 6 mai en désignant alors le général Jodl, son chef d'état-major, mais ce dernier essuie le même refus. L'intransigence d'Eisenhower est en effet implacable depuis le 12 avril 1945, date à laquelle il découvre horrifié les charniers d'Ohrdruf, annexe du camp de concentration de Buchenwald qui vient d'être libéré3. C'est donc le 7 mai 1945, à 2 h 41, que la reddition de l'armée allemande est signée à Reims dans une salle du Collège technique et moderne (actuel lycée Roosevelt) abritant le Supreme Headquarters Allied Expeditionary Force, par le maréchal allemand Alfred Jodl4, en présence des généraux américains Walter B. Smith et Eisenhower, du général français François Sevez et du général soviétique Sousloparov, les combats devant cesser le 8 mai à 23 h 1. L'acte signé est purement militaire. Ceci provoque la fureur de Staline qui veut que la capitulation de l'Allemagne soit signée dans sa capitale, à Berlin, où les soldats de l'Armée rouge règnent en maîtres5. Les journalistes occidentaux répandent rapidement la nouvelle de la capitulation, précipitant ainsi les célébrations. Les combats continuent cependant sur le front de l'Est. L'exigence de Staline est honorée et une nouvelle signature a lieu le 8 mai, dans la nuit du 8 au 9 mai à 0 h 16 heure russe (23 h 16 heure de l'Ouest), dans une villa de Karlshorst, quartier général du maréchal Georgi Joukov dans la banlieue Est de Berlin (aujourd'hui le musée germano-russe Berlin-Karlshorst). Les représentants de l'URSS, de la Grande-Bretagne, de la France et des États-Unis arrivent peu avant minuit. Après que le maréchal Georgi Joukov eut ouvert la cérémonie, les représentants du Haut commandement allemand, dont le maréchal Wilhelm Keitel, sont invités à signer l'acte de capitulation entrant en vigueur à 23 h 1, heure locale6 (heure d'Europe centrale), soit le 9 mai à 1 h 1, heure de Moscou. C'est l'amiral Hans-Georg von Friedeburg et le maréchal Keitel qui signèrent l'acte de capitulation. La reddition a donc lieu le 9 mai 1945 pour les Soviétiques et les pays est-européens alliés. De ce fait les Soviétiques, puis les Russes et leurs alliés est-européens, commémorent cette capitulation le 9 mai, sous le nom de Jour de la Victoire. Il faudra cependant attendre la capitulation officielle du Japon le 2 septembre 1945 (« V-J Day », pour « Victory over Japan Day », annoncé le 15 août 1945), lorsque le ministre des Affaires étrangères Mamoru Shigemitsu signe les articles de la reddition des forces japonaises sur le pont de l'USS Missouri dans la baie de Tokyo, pour que la Seconde Guerre mondiale prenne fin.
Capitulation de l'Allemagne Signature de la reddition de l'armée allemande à Reims, 7 mai 1945. Deux jeunes femmes lisant la une du Montreal Daily Star annonçant la capitulation allemande et la fin imminente de la Deuxième Guerre mondiale, 7 mai 1945. Articles détaillés : Actes de capitulation du Troisième Reich et Actes de capitulation du Japon. L'amiral Dönitz, désigné par Hitler comme son successeur, ainsi que son état-major, ont compris que toute résistance est vaine. Dönitz consacre son énergie à ce que les troupes allemandes se rendent aux Alliés occidentaux et non aux Soviétiques, avant tout pour que les prisonniers allemands soient traités selon les conventions internationales, et non massacrés ou déportés en Sibérie. Aussi souhaite-t-il des capitulations partielles1 à l'ouest et la poursuite des combats à l'est afin de soustraire à l'emprise de l'Armée rouge autant de troupes que possible et de rapatrier le maximum de population2. C'est dans cette intention que Dönitz envoie une première fois, à Reims, au PC avancé du SHAEF d'Eisenhower, l'amiral Hans-Georg von Friedeburg pour tenter de convaincre les Occidentaux de conclure une capitulation séparée. Le général américain l'éconduit, tout en prévenant Staline des tentatives allemandes. Le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union soviétique se sont en effet mis d'accord sur une capitulation totale et inconditionnelle du gouvernement allemand et de l'OKW sur tous les fronts, n'acceptant que des redditions ponctuelles dans le cadre des engagements (unités déposant les armes et se constituant prisonnières) et non dans le cadre d'un traité. Dönitz réitère ses avances le 6 mai en désignant alors le général Jodl, son chef d'état-major, mais ce dernier essuie le même refus. L'intransigence d'Eisenhower est en effet implacable depuis le 12 avril 1945, date à laquelle il découvre horrifié les charniers d'Ohrdruf, annexe du camp de concentration de Buchenwald qui vient d'être libéré3. C'est donc le 7 mai 1945, à 2 h 41, que la reddition de l'armée allemande est signée à Reims dans une salle du Collège technique et moderne (actuel lycée Roosevelt) abritant le Supreme Headquarters Allied Expeditionary Force, par le maréchal allemand Alfred Jodl4, en présence des généraux américains Walter B. Smith et Eisenhower, du général français François Sevez et du général soviétique Sousloparov, les combats devant cesser le 8 mai à 23 h 1. L'acte signé est purement militaire. Ceci provoque la fureur de Staline qui veut que la capitulation de l'Allemagne soit signée dans sa capitale, à Berlin, où les soldats de l'Armée rouge règnent en maîtres5. Les journalistes occidentaux répandent rapidement la nouvelle de la capitulation, précipitant ainsi les célébrations. Les combats continuent cependant sur le front de l'Est. L'exigence de Staline est honorée et une nouvelle signature a lieu le 8 mai, dans la nuit du 8 au 9 mai à 0 h 16 heure russe (23 h 16 heure de l'Ouest), dans une villa de Karlshorst, quartier général du maréchal Georgi Joukov dans la banlieue Est de Berlin (aujourd'hui le musée germano-russe Berlin-Karlshorst). Les représentants de l'URSS, de la Grande-Bretagne, de la France et des États-Unis arrivent peu avant minuit. Après que le maréchal Georgi Joukov eut ouvert la cérémonie, les représentants du Haut commandement allemand, dont le maréchal Wilhelm Keitel, sont invités à signer l'acte de capitulation entrant en vigueur à 23 h 1, heure locale6 (heure d'Europe centrale), soit le 9 mai à 1 h 1, heure de Moscou. C'est l'amiral Hans-Georg von Friedeburg et le maréchal Keitel qui signèrent l'acte de capitulation. La reddition a donc lieu le 9 mai 1945 pour les Soviétiques et les pays est-européens alliés. De ce fait les Soviétiques, puis les Russes et leurs alliés est-européens, commémorent cette capitulation le 9 mai, sous le nom de Jour de la Victoire. Il faudra cependant attendre la capitulation officielle du Japon le 2 septembre 1945 (« V-J Day », pour « Victory over Japan Day », annoncé le 15 août 1945), lorsque le ministre des Affaires étrangères Mamoru Shigemitsu signe les articles de la reddition des forces japonaises sur le pont de l'USS Missouri dans la baie de Tokyo, pour que la Seconde Guerre mondiale prenne fin.
sur wikipédia
et oui il ne faut pas oubliermerci de ta visite bon fin de journée de ce 8 mai 2025
mon mari est né en 1945 bientôt il aura 80 ans que ça passe vite le temps grrr
bisous
http://patiange.centerblog.net
❤️️BISOUS DE COXI❤️️http://coxilanddu26.centerblog.net
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